Appui aux collectivités

Bilan et nouveaux objectifs pour l’ANCT et ses partenaires historiques

Photo des 6 participants, alignés debout derrière une table
De gche à dte: Pascal Berteaud, DG du Cerema, Anne-Claire Mialot, DG de l'Anru, Valérie Mancret-Taylor, DG de l'Anah, Stanislas Bourron, DG de l'ANCT, Gisèle Rossat-Mignod, directrice réseau Banque des territoires, et Boris Ravignon, président de l'Ademe. DR ANCT

Le 14 février dernier, l’ANCT et ses cinq partenaires historiques se sont réunis en comité national de coordination, dans les locaux de l’Agence, à Paris. Objectif : dresser le bilan des actions conduites de concert et s’accorder sur celles à venir, mais aussi définir les axes clés des prochaines conventions de partenariats.

Le législateur a souhaité que l’ANCT puisse travailler avec plusieurs opérateurs-clés du développement des territoire et du soutien aux collectivités locales face aux transitions  : Ademe, Cerema, Anru, Anah et Banque des territoires.

Le comité national de coordination a réuni, à Paris, le 14 février, ces cinq acteurs de la cohésion des territoires. Il a permis de faire le point sur les conventions triennales qui les lient, leur renouvellement mais aussi de réfléchir à l’évolution des offres d’ingénierie.

Le bilan des projets conduits avec ces partenaires, entre 2020 et 2022, fait apparaître un accompagnement concret des collectivités dans leurs projets de territoire sur les plans financiers, d’ingénierie, d’outillages, d’études…

Ces cinq opérateurs nationaux sont aussi conviés aux comités locaux de cohésion territoriale, qui passent en revue, dans chaque département et sous l’égide des préfets, les besoins et les projets des territoires, avec les acteurs locaux et les services de l’État.

DES NOUVELLES CONVENTIONS POUR RENFORCER LA RÉPONSE OPÉRATIONNELLE

Aujourd’hui, l’ambition de l’ANCT, partagée par ses partenaires, est de renforcer la réponse opérationnelle aux besoins d’accompagnement dans les territoires dans chaque département et de mieux organiser et coordonner l’intervention de chacun auprès des porteurs de projet.

Il conviendra aussi de déterminer les priorités d’action et bénéficiaires prioritaires, notamment au regard des formes d’ingénierie manquantes au niveau local.

Ces travaux devront aboutir à la définition d’une nouvelle contractualisation d’ici l’automne prochain. À suivre…